chamaret aux alentours

Aux alentours


Villages autour de Chamaret

Chantemerle les Grignan

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Le site de Chantemerle était déjà habité au néolithique. (fragments de silex taillé, pierres polies découvertes sur le plateau du Rouvergue qui domine le village.

 

Sur ce même plateau, on peut encore découvrir de nombreuses bories dont certaines sont en parfait état. Selon certains, elles remonteraient aussi au néolithique. Pour d’autres, elles auraient été érigées au 19 ème, voire au 20 ème.

 

La Chapelle « Notre-Dame des Grâces » datant du 14 ème siècle.

Les vestiges, dans le cimetière, le chœur et les piliers carrés, d’une Chapelle Saint-Maurice, citée en 910.

L’Église Saint-Maurice, du 18 ème siècle, bâti sur l’emplacement de l’ancienne chapelle castrale.

 


Colonzelle

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L’implantation humaine de Colonzelle remonterait à l’époque antique. Des vestiges archéologiques de cette période, notamment des  sarcophages ont été retrouvés dans le cimetière de la Chapelle Saint-Pierre.

 

Un Prieuré clunisien du 11 ème siècle est sans doute à l'origine de la formation du village de Colonzelles et de l'édification, au début du 12 ème siècle de la chapelle.

 

Cette chapelle, « Saint-Pierre-ès-Liens » située dans la campagne de Margerie, présente, du point de vue de l’histoire de l’art, un intérêt public en raison de son caractère roman homogène et de la qualité du décor peint situé dans le chœur et datable du 14 ème siècle.


Grignan

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L’Histoire de Grignan se confond le plus souvent avec l’histoire de son château et de ses résidences successives.

 

Le bourg castral, mentionné dès 1105, se développe aux 13 ème et 14 ème siècles, avec le rôle grandissant de la puissante famille des Adhémar de Monteil, dont la branche cadette (les Adhémar de Grignan), possèdera définitivement la seigneurie dès 1239.

 

Le village, blotti au pied de son château, restera abrité à l’intérieur de ses remparts jusqu’à l’extrême fin du 15 ème siècle.

La première extension de l’agglomération interviendra au milieu du XVIème siècle, avec la création des Grand et Petit faubourgs, de la promenade et jeux du Mail (1550) et la construction, hors les murs, de la halle aux grains (1553), à l’emplacement actuel de la mairie.

De cette même époque datent encore l’édification de la Collégiale Saint Sauveur (1535-1542) et les grands travaux d’embellissement du château (1543-1557) qui font de l’ancienne forteresse médiévale un remarquable palais de la Renaissance.

 

Le bourg et son château connaîtront d’autres heures de gloire au 17 ème siècle avec François de Castellane Adhémar, comte de Grignan, qui exerça pendant près d’un demi-siècle les fonctions de lieutenant général et de gouverneur de la Provence.

Son mariage avec Françoise Marguerite de Sévigné en 1669, sera à l’origine de la célèbre correspondance épistolaire échangée entre la marquise de Sévigné et sa fille, la comtesse de Grignan.

Dès le 18 ème le souvenir de Mme de Sévigné et sa gloire littéraire naissante, sauveront le château de Grignan de la ruine et de l’oubli.

La modernisation du village aux 19 ème et 20 ème siècles accompagnera le développement économique, tout en préservant la richesse de son patrimoine architectural et la qualité de ses paysages.

 


Le Pègue

Le Pègue sur l'office du tourisme de Grignan

 

Perché à 348 m d’altitude, au pied de la montagne de la Lance (1 340m) sur les premiers contreforts des Préalpes, ce charmant village construit en paliers est riche d’une histoire de 6 000 ans.

 

Haut lieu de rencontre des Celtes et des Grecs, il abrite un musée archéologique doté de très nombreuses pièces mises au jour lors des chantiers de fouilles sur le site même de la Colline Saint-Marcel, et notamment une quantité exceptionnelle de céramiques pseudo-ioniennes.

 

L'Église Saint-Marcel et Saint-Menne renferme  l'ancienne chapelle castrale datée du 11 ème  ou  12 ème siècle, remaniée au 17 ème et agrandie au 18 ème. Elle abrite des statues de bois polychromes.

 

 


Montbrison sur lez

Montbrison sur l'office du tourisme de Grignan

 

Le village se situe à la croisée d’anciennes voies romaines.

 

Au début du 1er siècle de vastes bâtiments s’y installent. Au 11 ème siècle des moines de Cluny élèvent, sur les vestiges d’une église et d’un monastère carolingiens, qui avaient été, eux-mêmes, bâtis à l’emplacement d’une ancienne villa gallo-romaine et d’un petit sanctuaire dédié à Mercure et Jupiter, une grande église et un prieuré.

 

À la fin du 14 ème siècle tout est presque écroulé et seule une petite chapelle du 11 ème siècle, reconstruite au 15 ème siècle, existe toujours. Elle servira d’église paroissiale jusqu’à la révolution.Sur le site sont visibles les bases de piliers qui témoignent de l’importance de l’ancien prieuré clunisien.

 

Sur le flanc sud de l’ancien village médiéval du 11ème siècle, table d’orientation avec magnifique vue sur le Ventoux, les Monts du Vivarais et sur toute la Haute-Provence. L’église du village, construite pendant la Révolution, en 1791, abrite une petite cloche provenant du Prieuré. À droite du Porche, dans un hangar, une grosse cloche fondue en 1875, appelée Claire Immaculée, attend toujours son clocher. Sur les bords du Lez, à Pontaujard, vestiges d’un des rares ponts romains de la Drôme, à proximité d’une ancienne demeure seigneuriale, propriété des Hospitaliers.

 


Montjoyer

Montjoyer sur l'office de tourisme de Grignan

 

La Grange de Montjoyer édifiée par les moines Cisterciens qui ont fondé l’Abbaye Notre Dame d’Aiguebelle en 1137 est à l’origine du village qui s’est développé aux 12 ème et au 13 ème siècle.

 

Montjoyer a gardé de son passé médiéval quelques ruelles avec passages couverts, un morceau de rempart dans lequel s’ouvre une porte qui devait être celle du village.

 

L’Abbaye, blottie dans un vallon, abrite toujours actuellement une communauté cistercienne d’une trentaine de moines qui vivent du travail manuel, aident les pauvres dans la mesure de leurs possibilités et accueillent  ceux qui veulent prendre un temps de méditation dans leur vie. Librairie, magasin de produits régionaux et monastiques, salle vidéo et expositions.

 


Montségur sur Lauzon

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La présence humaine, attestée par la mise à jour de fragments de poteries, silex, ossements, remonte au moins ’à l’époque néolithique. De sa position géographique (perché sur une colline, culminant à 185 m), le village a tiré son nom : Mons securus en latin, Mons Ségur en occitan, c’est-à-dire, lieu sûr.

 

Le château, noyau du village, aujourd’hui en ruine, aurait été édifié dès le Haut Moyen Âge. La Chapelle Saint-Félix, des 11 ème et 17 ème siècles, avec son clocher de style mauresque a été restaurée et se visite. À proximité, une table d’orientation avec une vue exceptionnelle, et, apposée sur un mur, l’étoile des félibres.

 

À voir, également la Chapelle des Barquets : Notre-Dame des sept douleurs, Chapelle Saint-Claude et Chapelle Saint-Jean.

Les vastes plateaux de grès sont favorables à la truffe et font de Montségur-sur-Lauzon une des capitales du diamant noir.

 

 


Roussas

Roussas sur l'office du tourisme de Grignan

 

De l’ancien village défensif, perché sur son piton rocheux, il reste les ruines d’un château du 12 ème siècle et quelques édifices religieux.

 

Tout près, se tient une grande église, le sanctuaire Saint-Joseph, construit à la fin du 19 ème siècle sur l’emplacement d’un ancien lieu de dévotion à Saint-Joseph. À noter, qu’à l’intérieur, on peut admirer un rarissime orgue pneumatique, récemment restauré.

 

Ce même endroit bénéficie d'une vue superbe sur le château du 12 ème siècle et sa Chapelle Saint-Germain, posés eux aussi un peu plus loin au-dessus du village qui s’étale en contrebas avec sa belle église.

 


Reauville

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Le nom du village apparaît dans les textes au 13 ème siècle seulement mais son terroir relevait déjà des « Terres Adjacentes de Provence », et il est probable que l’ancien domaine de Cersas (Sarson) fut baptisé Réauville en 1280, lorsque l’Abbaye d’Aiguebelle fut placée sous la protection du Comte de Provence, Charles d’Anjou, frère de Saint-Louis.

 

Le village a conservé quelques vestiges du bourg castral primitif et de nombreux décors architecturaux associés aux formes nouvelles des 16 ème et 18 ème siècles.

 

L’Église Sainte-Marie-Madeleine est très remaniée.Elle se distingue par un décor de peintures murales « dans des cartouches de différentes formes; des silhouettes de villes antiques, à contre-jour et en perspective composent ce curieux décor profane, réalisé en 1871 par deux moines de l’Abbaye d’Aiguebelle ».

 


Rousset les vignes

Rousset sur l'office du tourisme de Grignan

 

Le village de Rousset-les-Vignes trouve son origine dans la fondation d’un prieuré et dans l’installation d’un château féodal du 14 ème et du 15 ème siècle dominant le bourg à l’est.

 

Perché et adossé à la montagne, il faisait partie de ces villages fortifiés, qui, du Pègue à Venterol, surveillaient la plaine de Valréas et l’ancienne route de piémont. L’ensemble était protégé d’un rempart flanqué de tours de plan semi-circulaire dont certaines sont encore en place aujourd’hui.

 

Sur une placette tranquille se dresse l’église fortifiée, dont l’origine remonte au 12 ème siècle. En face un prieuré clunisien du 10 ème siècle, remanié, à la façade Renaissance remarquable. Château 14 ème siècle : tours, portail gothique, escalier à vis. Église d’origine romane remaniée.

 

La Chapelle de Notre-Dame de Beauvoir ou de Bois-vert, ou de Beauvert est située au sommet d’une colline à l’extérieur du village. Sa date de construction n’est pas connue, mais le sentier de transhumance de Notre-Dame de Bellevue est cité en 1316. Une statue en bois représentant une belle vierge s’y trouvait.Elle a été restaurée et se trouve maintenant dans l’Église paroissiale Saint-Mayeul.

 


St Pantaléon les vignes

St Pantaléon sur l'office du tourisme de Grignan

 

Le nom de ce village apparaît pour la première fois en 989 dans une charte de Cluny.

 

Au 12 ème siècle, un prieuré, voulant se donner un protecteur, place la commune sous la Suzeraineté des Comtes de Toulouse, souverains du Marquisat de Provence qui devint plus tard le Comtat Venaissin jusqu’en 1790. Durant cette période, la Commune changea plusieurs fois de nom.


Salles sous-bois

Salles sous-bois sur l'office du tourisme de Grignan

 

Petit village situé à une altitude de 244 m, Salles-sous-Bois fut un carrefour de routes.

 

S’y croisaient les deux seules voies joignant le bassin méditerranéen et la Péninsule ibérique au reste de l’Europe, à travers la barrière des Alpes. Le village de Salles-sous-Bois, s’inscrit tout en longueur dans son site avec de nombreuses demeures des 14 ème et 15 ème   siècles  avec de belles voûtes et façades Renaissance.

La Chapelle Sainte-Marie-Madeleine, attestée à la fin du 14 ème siècle est devenue église paroissiale.

De nombreux chemins forestiers permettent de découvrir  une vieille piste celtique qui fut la route médiévale de Taulignan à la Bégude de Mazenc.

 


Taulignan

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Le bourg castral des13 ème-15 ème siècles a vécu autour de son château (détruit en 1793), à l’abri des fortifications qui marquent encore le paysage médiéval du site.

Onze des quatorze tours qui défendaient les murailles ont été préservées, ainsi que la porte nord, ou porte d’Anguille, flanquée de deux tours reliées par une galerie sur mâchicoulis.

Le village abrite de nombreuses façades Renaissance et habitations des 17 ème et 18 ème siècles.

 

 


Valaurie

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Village  perché, restauré, typique de la Drôme provençale, avec ses calades particulièrement bien entretenues, Valaurie garde quelques vestiges de son château médiéval.

 

Les remparts subsistent avec quelques tours. L’Église Saint-Martin, isolée du village, est un beau monument roman édifié aux 11 ème et 12 ème siècles, il est devenu l’Eglise paroissiale.